vendredi 3 août 2012

Circulation routière

Mesure

On mesure le débit de circulation en comptant le nombre de véhicules pendant une période de temps. Les unités les plus employées sont le nombre de véhicules par jour et l'unité de la « 30e heure». Cette dernière représente le niveau le plus sollicité de la section de la chaussée étudiée dans une journée. La 30e heure est celle la plus sollicitée en circulation pendant une heure sur une période d'un an. Elle est considérée comme la période de pointe.

Voirie

Comparaison entre bus et véhicules légers du nombre de véhicules équivalents pour une capacité de transport donnée1
Le concepteur de voirie détermine le nombre de voies en fonction du volume de circulation. Pour prendre en compte les différents types de véhicules, il utilise souvent l'unité de véhicule particulier (UVP) définie comme suit :
  • un véhicule léger ou une camionnette = 1 UVP
  • un poids lourds de 3,5 tonnes et plus = 2 UVP
  • un cycle = 0,3 UVP (exceptionnellement entre 0,2 et 0,5)
L'ingénierie du trafic est une science qui distingue le débit d'une voie (qui varie d'un moment d'observation à l'autre) et la capacité, qui représente le débit maximal (et qui est donc un invariant pour un état de la voirie).
Le débit d'une voie dépend de la vitesse moyenne de circulation car, à allure élevée, les conducteurs augmentent l'intervalle entre véhicules. Il dépend aussi du degré d'attention des conducteurs. Ainsi, sur les voies rapides urbaines comme le boulevard périphérique de Paris, l'interdistance est plus faible que sur une route de rase campagne ; mais on ne pourrait pas conserver longtemps le degré de concentration que cela demande. Dans des conditions normales, le débit d'une voie atteint son maximum pour un flux de véhicules circulant environ à 50 km/h.
On peut, pour ce qui concerne la capacité, retenir les ordres de grandeur suivant :
  • 5 000 à 7 000 UVP/jour pour une route à deux voies, en rase campagne,
  • 10 000 à 13 000 UVP/jour pour une route à quatre voies sans terre-plein central,
  • 13 000 à 18 000 UVP/jour pour une deux fois deux voies et carrefours à niveau,
  • 30 000 UVP/jour pour une autoroute à deux fois deux voies et carrefours dénivelés (mais 60 000 UVP/jour en zone péri-urbaine).
Le trafic détermine aussi la constitution de la chaussée. La nature et l'épaisseur de la couche de roulement dépend du volume de circulation tandis que le corps de chaussée est dicté par le nombre de poids lourds.

Bruit

L'aménagement urbain doit prendre en compte le niveau de bruit généré par les infrastructures routières, ferroviaires ou aériennes. En France, on répartit les infrastructures en cinq classes de bruit qui déterminent les niveaux d'isolation acoustique que les bâtiments voisins doivent respecter.

Transports

L'élaboration d'un plan de déplacements urbains nécessite également une bonne connaissance de la circulation routière, mais cette donnée ne suffit pas. Il faut la compléter par des enquêtes origine-destination.

Moniteur d'auto-école

Le moniteur d'auto-école est une personne chargée de dispenser l'enseignement théorique et pratique de la conduite d'un véhicule1,2. La partie pratique se déroule généralement lors de leçons individuelles.
Le métier d'enseignant nécessite de la patience et de la pédagogie nécessaires à tout métier de l'éducation. L'apprentissage pratique se déroule le plus souvent, dans des conditions réelles, le véhicule-école étant intégré au reste de la circulation. Les commandes du véhicule-école sont généralement dédoublées et c'est au moniteur qu'il revient d'en prendre le contrôle en cas de danger non identifié par l'élève ou en cas de faute dangereuse de celui-ci.
Les conditions de travail de ce métier sont parfois jugées difficile3, notamment en ce qui concerne les horaires de travail ainsi que les conséquences du maintien de la position assise sur les douleurs dorsales. Le moniteur est exposé aux accidents de la circulation, au bruit, aux vibrations, aux gaz d'échappement des véhicules et aux contaminations biologiques par les clients.

Guide des auto-écoles à Toulouse


Toulouse est la ville chef-lieu du département Haute-Garonne (31), dans la région Midi-Pyrénées. Elle comporte près de 500 000 habitants et elle fait une superficie de presque 120km², ce qui la classe comme une des grandes villes de France. Vous découvrirez dans cet article le guide des auto-écoles dans la ville de Toulouse.

Le guide des auto-écoles

Voici une liste des auto-écoles actuelles de la ville de Toulouse :
  • L'auto-école ECF midi france de Toulouse, située au 39 Place des Carmes, Toulouse. Le numéro de téléphone est le 05 61 52 83 71.
  • L'auto-école Rallye, qui se trouve C.Cial Ancely, 11 Allée du Vivarais, Toulouse. Téléphone : 05 61 49 65 69.
  • L'auto-école Cerep, qui se situe au 29 Boulevard Lascrosses, Toulouse. Vous pouvez l'appeler au 05 61 21 10 87.
  • L'auto-école Daurade, se situant au 7 Rue Jean Suau, Toulouse. Le téléphone est le 05 61 21 00 32.
  • L'auto-école Rangueil, située au 13 rue Général Barés, Toulouse. Le téléphone est le 05 61 25 66 16.
  • L'auto-école Belle Paule, qui se trouve au 94 Avenue Saint-Exupéry, Toulouse. Vous pouvez les appeler au 05 61 80 65 06.
Se sont toutes des auto-écoles qui ont une bonne réputation dans la ville de Toulouse.

Les tarifs et prestations appliqués

Les auto-écoles de Toulouse pratiquent des systèmes de forfait. Les prix sont de 700€ à 1100€ le forfait B et Conduite accompagnée. Les heures supplémentaires de conduite vont de 34€ à 42€.
Voici ce que comportent les forfaits :
  • Les frais de dossiers.
  • Les cours de code illimités ou sur une période de 6 mois.
  • Les fournitures pédagogiques.
  • Une présentation à l'examen du code.
  • 20 heures de conduite qui sont le minimum obligatoire.
  • Une présentation à l'examen de la conduite.
  • Les assurances pendant toute la période de formation y compris le jour de l'examen.
Pour le forfait AAC, la présentation à l'examen n'est pas comprise et il y aura également 3 rendez-vous pédagogiques de 2 heures pour chaque rendez-vous, à effectuer avec l'enseignant, afin de vérifier le niveau acquis par l'élève.
(Prix constatés en août 2011).

ECO-CONDUITE

POURQUOI DEVENIR UN ECO-CONDUCTEUR

- Pour faire des économies de carburant ! c'est là son premier objectif et avec la crise actuelle, le prix de l'essence, ça vaut le coup d'essayer.On estime même que de suivre de telles consignes permettraient de reduire d'environ 25 % la consommation de carburant.

- Du point de vue de la sécurité routière, l'éco-conduite permettrait aussi une baisse des accidents de 10  à 15 % !

- Et puis l'éco-conduite c'est aussi pour l'éco-logie...
Ce n'est pas nouveau, la conduite dite "sportive" voir même "agressive" use le moteur, les freins et surtout augmente énormément la consommation de carburant et les émissions de gaz nocifs pour l'environnement.

Donc finalement vous pouvez économiser du carburant, réduire les gaz d'échappement et vous protéger, vous et les autres, en mettant en pratique certaines techniques de conduite préventive.


COMMENT DEVENRIR ECO-CONDUCTEUR

Il faut appliquer les 10 principes de base :

1 Planifier ses déplacements
2 Rouler doucement pendant les 5 premiers kilomètres
3 Accélérer en douceur et éviter les "à coup"
4 Garder une vitesse constante dans le respect du code de la route, en conservant le rapport le plus élevé possible (passer un rapport supérieur dès que possible, à partir de 2 000 trs/min pour les moteurs diesel, 2 500 trs/min pour les moteurs essence)
5 Anticiper les freinages et ralentir doucement en relachant l'accélérateur
6 Couper le contact pour un arrêt supérieur à une minute
7 Privilégier la vitre ouverte plutôt que la climatisation
8 Alléger la voiture, retirer tous les objets inutiles
9 Entretenir régulièrement son véhicule
10 Vérifier régulièrement la pression de vos pneus


Alors c'est simple quand même ! En tout cas plus accessible que d'acheter une voiture électrique

Posez votre question Signaler LA CONDUITE SUPERVISÉE

Dans le cadre de la réforme du permis de conduire, un arrêté du 22 décembre 2009 a modifié les règles de l'apprentissage anticipé de la conduite (AAC), plus communément appelé conduite accompagnée.

L'AAC s'adresse aux candidats de tous âges à partir de 16 ans. Dès lors qu'ils ont réussi l'épreuve de code et suivi au moins 20 heures de conduite dans une auto-école.
C'est une formule qui permet d'optimiser ses chances de réussite au permis de conduire. De plus, les statistiques démontrent que les jeunes conducteurs de l'AAC ont 4 à 5 fois moins d'accidents que les conducteurs novices issus de la formation traditionnelle, dans la même tranche d'âge.
C'est d'ailleurs la raison pour laquelle la "durée probatoire" est réduite pour ces nouveaux conducteurs. Dans la filière classique, les nouveaux titulaires du permis de conduire ne possèdent qu'un capital initial de six points, qui passe automatiquement à douze après une période de trois ans, sans infraction entraînant un retrait de points. Cette période n'est que de deux ans pour les nouveaux conducteurs qui ont suivi la conduite accompagnée.

Conduite accompagnée : ce qui change
Pour tous les candidats
* L'accompagnateur ne sera plus obligatoirement âgé de 28 ans minimum mais devra simplement avoir son permis depuis 5 ans sans avoir commis d'infractions graves.
* Les 3 000 km de conduite exigés dans le cadre de l'AAC devaient être parcourus dans un délai de trois ans au plus. Cette durée maximale est supprimée.
* Avant le début de l'apprentissage, l'élève et son accompagnateur devront obligatoirement passer deux heures avec le moniteur de l'auto-école.
Pour les plus de 18 ans
En fonction des compétences du candidat, le moniteur d'auto-école pourra l'autoriser à suivre un apprentissage anticipé sur une durée minimale de trois mois (au lieu d'un an dans le régime commun) et sur une distance minimale de 1 000 km (au lieu de 3 000).
Mais contrairement à l'AAC "classique", ce mode accéléré d'apprentissage ne réduit pas de trois à deux ans la durée de la période probatoire.

Auto-école : les droits du candidat

Tout candidat au permis de conduire doit être vigilant lorsqu'il choisit une auto-école. Les critères de choix sont nombreux : prix, formule proposée, contrat, présentation à l'examen.
L'auto-école a des obligations d'information et doit remettre des documents (contrat, note) au candidat.

Les conditions d'exercice

L'auto-école doit être agréée. L'agrément est obligatoire : il est délivré pour une durée de 5 ans par le préfet du lieu d'implantation de l'établissement. Le numéro d'agrément doit obligatoirement figurer sur toute documentation ou publicité.

Les obligations d'information

Les prix sont libres. Ils doivent faire l'objet d'un affichage extérieur et intérieur.
L'affichage extérieur doit être parfaitement visible et lisible.
Il doit comporter par catégorie de permis et pour toutes les prestations à l'unité offertes (leçons théoriques et pratiques, tests de contrôle, présentations aux examens) :
  • la dénomination précise du permis ;
  • la durée ;
  • les prix TTC.

Pour chaque catégorie de permis (surtout B, AL et A), le forfait le plus couramment pratiqué par l'entreprise doit être également affiché.
L'affichage intérieur porte sur l'ensemble des prestations offertes, forfaitaires et à l'unité, quel que soit le type de permis.
Le contenu des prestations forfaitaires doit être détaillé (nombre d'heures de conduite, frais d'inscription, frais de dossier....). La durée du forfait qui peut Tout publicité doit également mentionner :
  • le nom, l'adresse et le numéro d'agrément préfectoral de l'établissement ;
  • les prestations à l'unité : la dénomination précise, la durée et le prix TTC de ces prestations.

Les aides financières

Le permis à 1 euro par jour permet de financer la première inscription à une formation à la conduite payante, délivrée par un établissement agréé d'enseignement de la conduite, en vue de l'obtention du permis de conduire (catégorie A ou B).
L'aide financière est accordée aux jeunes âgés de 16 ans au moins et de 25 ans au plus, à la date de signature du contrat concerné.
Elle se présente sous la forme d'un prêt à taux zéro souscrit auprès d'un établissement de crédit permettant au bénéficiaire de payer cette formation.

Le contrat

L'auto-école doit remettre un contrat au candidat.
Les mentions obligatoires du contrat sont :
  • la raison ou la dénomination sociale de l'établissement, le nom de l'exploitant et l'adresse de l'établissement agréé, le numéro et la date de l'agrément, la mention de la compagnie et du numéro de la police d'assurance ;
  • le nom et l'adresse du candidat ;
  • l'objet du contrat ;
  • l'évaluation du niveau du candidat avant l'entrée en formation, notamment le nombre prévisionnel d'heures de formation, lorsque cette évaluation est obligatoire ;
  • le programme et le déroulement de la formation ;
  • les moyens pédagogiques et techniques mis en oeuvre pour la formation et l'évaluation du candidat ;
  • les démarches administratives et formalités nécessaires faites éventuellement par l'établissement en nom et place du candidat ;
  • les obligations des parties : engagement de l'établissement à dispenser la formation et à présenter le candidat aux épreuves en fournissant les moyens nécessaires, engagement du candidat à respecter les prescriptions pédagogiques et le calendrier de la formation et de l'examen ;
  • les conditions de résiliation ou de rupture du contrat et les modalités financières qui s'y attachent ;
  • le tarif des prestations de formation quelle qu'en soit la forme et le tarif des éventuelles prestations administratives ;
  • les modalités de paiement qui doivent préciser l'échelonnement des paiements ;
  • l'existence ou l'absence de souscription par l'établissement à un dispositif de garantie financière permettant le remboursement au candidat des sommes trop perçues en cas de défaillance de l'établissement. En cas de souscription, le nom du garant et le montant de la garantie devront être mentionnés.


Source : dgccrf-minefe